"Apprenez le zéro déchet pas à pas, sans culpabiliser"

Seconde main

Objets d’occasion : pour faire des économies et limiter les déchets

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L’accumulation des déchets issus de la surproduction de produits difficilement dégradables nuit à notre planète, c’est un fait. La production excessive de plastiques, de feuilles de papier, de tissus la dégrade en permanence. Si cela continue, les conséquences pour notre mode de vie pourraient être désastreuses d’ici quelques années. C’est pourquoi nous incitons les consommateurs à prendre conscience que nous ne possédons qu’une seule planète et que nous devons la préserver. Participez à cette démarche, optez pour des objets d’occasion, ce geste simple sera déjà bénéfique pour notre environnement, mais aussi pour votre porte-monnaie.

Optez pour des jouets d’occasion

Pour vos enfants, préférez des objets d’occasion. Quand ils sont encore petits, souvent les parents limitent le budget alloué à leurs jouets. Ils ont raison, car les enfants grandissent vite, et ceux en bas âge ne profitent pas longtemps de leurs jouets avant de s’intéresser à autre chose. En moyenne, un enfant utilise un jouet pendant 8 mois et s’en lasse, il veut quelque chose de nouveau. Vous investissez alors pour une très courte durée, et de ce fait, il est préférable de se tourner vers les jouets d’occasion.

Certaines boutiques en proposent, mais si vous êtes en quête de jouets offrant le meilleur rapport qualité/prix, alors les plateformes en ligne sont à privilégier. À l’image du site Lady Cocotte, ces jouets d’occasion sont en général en très bon état tout en restant abordables.

Depuis des décennies, la majorité des jouets sont faits à base de plastique, un matériau incroyable de praticité, mais extrêmement polluant. En choisissant des jouets d’occasion, vous participez déjà à la limitation de cette production désastreuse pour l’environnement.

jouet pour enfant d'occasion

Choisissez des vêtements de seconde main

Souvent, les gens achètent des vêtements sous le coup d’une émotion ou sur un coup de cœur. Ils les mettent deux ou trois fois et souhaitent s’en débarrasser pour faire de la place dans leur garde-robe. Ils revendent ces vêtements en ligne ou effectuent des vide-greniers. Cette habitude est une aubaine pour ceux qui ont un budget vêtements restreint et ceux qui songent à la réduction des déchets.

La plupart des vêtements de seconde main sont encore en très bon état. Il y en a même qui n’ont jamais été portés, par erreur de taille ou pour une autre raison, et leur propriétaire les vend. Comme la vente se fait entre particuliers et non en magasin, l’article est considéré comme étant de seconde main. Les prix ne seront donc plus les mêmes que ceux en magasin.

Il est fort probable que vous trouviez des vêtements de très bonne qualité ou de grande marque, encore en très bon état et à la mode, mais à des prix très attractifs par rapport au même modèle en magasin.

Investissez dans des livres d’occasion

Le domaine de l’occasion s’étend au-delà des jouets et des vêtements, il concerne aussi les livres. Les vendeurs cèdent leurs anciens livres à un prix relativement bas pour pouvoir en acquérir d’autres ou pour faire de la place dans la bibliothèque. Si vous optez pour un livre d’occasion, vous rallongez la vie de ces objets si précieux, tout en économisant de l’argent, en plus d’acquérir de nouvelles connaissances.

Même s’il existe actuellement des livres en fichier électronique, le livre dans sa forme traditionnelle est à privilégier. Si vous achetez un livre d’occasion, vous participez indirectement à limiter les effets du gaspillage.

Et vous ? Quels sont les objets que vous achetez sur le marché de l’occasion ?

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Je suis Laura Bégot-Guégan, je vis en Bretagne et plus précisément dans le Finistère. Je suis mariée et mère de 3 enfants. En 2015, j’ai pris la décision de supprimer les déchets de la famille. Je ne suis pas particulièrement écolo, mais j’ai toujours été sensible au sort de notre planète et de nos descendants. Cependant, je pestais après tous ces gouvernements qui n’en n’ont rien à faire, qui restent les bras croisés à attendre que l’on continue un peu plus à s’auto-détruire. Le monde entier est concerné mais rien n’est fait. J’ai compris récemment que s’il l’on veut que le monde change, il faut commencer par être le changement que l’on veut voir. J’ai compris que l’on peut agir. N’ayons pas peur de sortir du cadre. Au contraire, sortons du cadre et construisons une nouvelle façon de vivre.

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