Je comprends maintenant pourquoi Béa Johnson dit qu’elle arrive à sentir le goût du plastique. En achetant des olives en vrac je me suis aperçue qu’en réalité je ne connaissais pas le vrai goût des olives.
J’en ai trouvé au magasin bio de ma ville. Sur le comptoir, il y a de grands bocaux en verre type le parfait. Dedans, des olives marinent dans de l’huile et autres aromates : herbes, amandes…
Disparu le goût du plastique, disparu le goût de l’emballage qui dénature le produit. Un goût simple et naturel, le goût de l’olive, goût que je viens de découvrir. Mon dieu qu’est-ce c’est bon ! Encore une bonne raison de poursuivre ma démarche zéro déchet…